PRÉSENTONS-NOUS
Au début il y eut la roue
Grand fut le jour où l’homme… S’aperçut qu’un « objet rond » pouvait rouler et, modifié mécaniquement, était capable de transporter du matériel, jusqu’à ce qu’arrive le transport de l’homme en personne. Le Sapiens, doté d’un grand génie, se faisait transporter d’un lieu à l’autre sans efforts, en rêvant d’un avenir rose et prospère… jusqu’à ce qu’un jour il éprouve fortement le besoin de freiner !
Puis le frein à sabots à commande manuelle, ou martinicca, est arrivé.
Il ne suffisait plus de dire Alt ! En effet, l’utilisation d’animaux et l’augmentation de la vitesse avaient laissé deviner à Martino, après les premières embardées terrifiantes, qu’une autre force entrait en jeu et devait être forcément contrôle : la force d’inertie. Ainsi naquirent les premiers freins, comme la martinicca (frein à sabots des véhicules tirés par des animaux comme les chars, carrosses, etc., actionné manuellement par un mécanisme à vis ou un système de câbles et poulies). En pratique, deux matériels poussés avec force l’un vers l’autre, créent une friction. Voilà que le frein était inventé, une bonne chose.
MATÉRIAU DE FRICTION POUR FREINS ET EMBRAYAGES
Depuis ce jour-là, la recherche a été incessante. Plus les véhicules à usage courant ou professionnel, expression de force, puissance et vitesse, évoluaient, plus les freins devenaient complexes et efficaces.
Les matériaux de friction ont aujourd’hui la capacité de supporter des températures et charges d’exercice considérables, par exemple la « Formule Un » ou les « ponts roulants » ou plus simplement un « vélo tout terrain ». Tout est proportionnel, tout est étudié… La sécurité est en jeu.
NOTRE ENTREPRISE
Le client et ses exigences sont le cœur de notre métier. Grâce à notre laboratoire et à l’excellence de notre réseau de partenaires et de fournisseurs, nous apportons toujours satisfaction à nos clients, aussi bien pour une régénération que pour concevoir, prototyper, tester et mettre en fabrication un matériau ou un système de freinage à partir de zéro.